mercredi 15 décembre 2010

Journée Mondiale de la Solidarité

Introduction:

La pauvreté est un de nos plus gros problèmes auxquels nous devons faire face pour réussir à avoir un monde conforme, juste et qui durera pour toujours. Pour combattre la pauvreté, la Journée Mondiale de la Solidarité se met en marche en 2005 par l’Assemblée générale. Cette Journée Mondiale a lieu le 20 décembre chaque année.

La Journée Mondiale de la Solidarité:

(1) Cette Journée a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux.

(2) La Journée internationale de la solidarité humaine souligne l’importance qu’il y a à mener une action collective pour surmonter les difficultés auxquelles le monde fait face et réaliser les objectifs de développement fixés au niveau mondial. La solidarité avec celles et ceux qui souffrent de la pauvreté et l’oppression est l’un des principes fondateurs de l’ONU.

En 2009, la Journée internationale de la solidarité humaine prend une autre dimension. En effet, d’après les estimations, 100 millions de personnes auraient rejoint les rangs des pauvres en 2009, du fait de la crise financière et économique mondiale. Sans compter que les changements climatiques représentent une menace multidimensionnelle et universelle à laquelle il faut s’attaquer d’urgence; en effet, ils menacent la sécurité alimentaire et l’accès à l’eau, et risquent d’entraîner une augmentation de la fréquence des catastrophes météorologiques. Ces crises, qui touchent de manière disproportionnée les pauvres et les plus vulnérables, ceux qui sont le moins bien équipés pour y faire face, ne peuvent être surmontées par les États individuellement. Plus que jamais, l’heure est venue d’unir nos efforts pour cette cause commune. En cette journée internationale, renouvelons notre attachement à la solidarité humaine et notre engagement à mener une action collective pour créer un monde meilleur et plus sûr pour tous.

Conclusion:

La Journée Mondiale de la Solidarité nous montre que nous devons faire quelque chose face aux problèmes mondiaux, tels que les changements climatiques, mais aussi la pauvreté puisqu' on sait que plus d'un milliard de personnes ne mangent pas à leur faim. Il faut intervenir rapidement!

Bibliographie

(1) BUDDHACHANNEL. 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine, [Consultation : 14/12/10]. Disponible : http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153

(2) CROISSANT ROUGE EUROPÉEN. Journée Internationale de la Solidarité Humaine, [Consultation : 14/12/10]. Disponible : http://www.croissant-rouge-europeen.org/journee-internationale-de-la-solidarite-humaine_59__.htm

(Image) AUDENCIA NANTES. Veolia Environnement lance le prix de la solidarité étudiante, [Consultation : 15/12/10]. Disponible : http://www.responsabiliteglobale.com/2010/01/21/veolia-prix-solidarite-etudiante/

mardi 14 décembre 2010

La solidarité Internationale


Introduction:

Les pauvretés (économiques mais aussi sociales, culturelles…) s’accroissent de par le monde. Plus d’un milliard de personnes ne mangent pas à leur faim. Un milliard d’habitants de la planète vivent dans des bidonvilles. Dans le même temps, les richesses ont été multipliées par 8 au cours des 40 dernières années. Le chiffre d’affaires combiné des 200 sociétés transnationales les plus importantes représente plus que les économies cumulées de 180 pays du globe.

La solidarité dans le Monde:

(1) Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, tout est lié. Une décision prise en un point de la planète peut avoir des conséquences pour tous. Dans le monde, plus d’un milliard de personnes souffrent de la faim et vivent dans des bidonvilles…La pauvreté ne cesse d’augmenter, les inégalités se renforcent alors que les richesses se multiplient. Alors que la mondialisation accroît les liens entre les pays, et que les choix politiques et économiques actuels mettent la planète en péril, la solidarité internationale est plus que jamais nécessaire. Celle que nous défendons se base sur le partage et la réciprocité, non sur l’assistance ou le paternalisme, et laisse les populations maîtres de leur destin. Elle doit être portée par tous : associations, pouvoirs publics, entreprises, syndicats, citoyens… et prend des formes différentes qui ne se limite pas aux dons ou aux actions dans les pays en développement. Car, il est indispensable d’agir également sur les causes des inégalités au Nord comme au Sud. La solidarité internationale est un acte politique et réfléchi.

(2) La coopération au développement n’est donc pas seulement devenue pour les pays industrialisés une obligation morale, mais également une nécessité sur le plan économique et politique. Un monde où certains vivent dans le confort et dans l’abondance, alors que la moitié de la population mondiale ne dispose que de 2 dollars par jour pour vivre, n’est ni juste ni stable. Participer à l’effort de Solidarité et au développement des pays les moins favorisés va au-delà des « simples » bonnes œuvres. C’est aussi prendre sa part de responsabilité pour contribuer aux équilibres du monde.

Conclusion:

La solidarité internationale, c’est prendre en compte la réalité de ces inégalités, en comprendre les causes et agir pour les combattre. Tous les acteurs de la société peuvent s’y engager : pouvoirs publics, collectivités territoriales, entreprises, médias, organisations syndicales, associations… Chaque citoyen est concerné.

Bibliographie

(1) LA SEMAINE DE LA SOLIDARITÉ INTERNATIONALE. Osons la solidarité internationale, [Consultation : 14/12/10]. Disponible : http://www.lasemaine.org/osons

(2) RÉPUBLIQUE ET CANTON DE GENÈVE. La solidarité internationale,[Consultation : 14/12/10]. Disponible : http://www.geneve.ch/solidarite/la-solidarite-internationale/

(Image) AMIS DE L’ESPAGNE. Du 13 au 20 novembre : Semaine de Solidarité Internationale, [Consultation : 14/12/10]. Disponible : https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTFi4bNC3vZoQ2vfNxQPu2jdisU1NufeEDMIcuLn2_m3wVyfHTJKZ_W7TF_nQjeyAS30obh3XleD42wJwVewDp3MWxW4Ax6QBlmPmenbyb7eqYqgJjc88XTYhzHnpJa1n8IoJOMO3CVOc/s1600/SSI-visuel-bat-bdef.jpg

mardi 30 novembre 2010

Journée Mondiale du Climat

Introduction:

Le réchauffement climatique est un problème qui concerne l'humanité de nos jours et les futures générations. Pour lutter ainsi contre les dangers que produit le réchauffement climatique tel que la disparition d'espèces animales ou végétales ainsi que la création des gaz à effet de serre, la Journée Mondiale du Climat a été mise en place.

La Journée Mondiale du Climat:

(1) En 2010, la Journée Mondiale du climat a eu lieu le 10 octobre. Elle a été baptisé «10/10/10» ou «Global Work Party», cet événement organisé par l'ONG 350.org se veut la plus longue journée d'engagements citoyens pour le climat à travers 7000 manifestations annoncées dans 188 pays. Le chiffre «350» est une allusion à la concentration de CO2 dans l'atmosphère: 350 parties par million (ppm), un chiffre à ne pas dépasser pour éviter une hausse de la température ingérable, selon certains scientifiques. Les seuls pays qui ne prennent pas part, à cette journée, sont la Guinée équatoriale, San Marin et la Corée du Nord, c'est donc la journée d'action pour l'environnement la plus suivie dans le monde.

Le coup d'envoi de la Journée a été donné en Australie et en Nouvelle-Zélande, avant de se prolonger sur le continent asiatique. À Pékin, des centaines de personnes ont marché dans la ville en ramassant des ordures. Plus de 30.000 étudiants de quelque 200 universités ont lancé un programme national appelant à agir de façon pratique contre le changement climatique, notamment par le ramassage de déchets. C'est le plus importante manifestation de jeunes pour l'environnement dans l'histoire de la Chine.

Des milliers de personnes ont participé à des actions locales, y compris certains vivants dans des endroits particulièrement démunis.

À Manille, des milliers de personnes ont participé à une course destinée à attirer l'attention sur le fleuve de Pasig, très pollué.

En Australie, des manifestations pour promouvoir la bicyclette, planter des arbres, partager des conseils de jardinage bio et écouter des conférences sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre ont marqué la journée.

Les îles du Pacifique n'étaient pas en reste: opération «sans voiture» à Tonga, bicyclette en Papouasie Nouvelle-Guinée, arbres plantés aux Fidji. C'est incroyable car on sait qu'elles sont peu responsables du réchauffement climatique, mais elles sont parmi les plus volontaires pour agir.

Cet appel aux citoyens à agir intervient alors que les efforts des Nations unies pour parvenir à un accord international de lutte contre le changement climatique sont dans l'impasse.

Réponse face à cette Journée Mondiale du Climat:

(2) Ainsi, c’est sous la présidence française de l’Union européenne qu’a été adopté le Paquet Energie Climat : - 20 % de la consommation énergétique, - 20 % des émissions de gaz à effets de serre et 20 % d’énergies renouvelables au sein du bouquet énergétique final en Europe d’ici 2020.

C’est également la France qui a souhaité avec l’Allemagne et la Grande-Bretagne, le 16 juillet dernier, aller encore plus loin en proposant de réduire les émissions de l’Union européenne de 30 % d’ici 2020. Au-delà, la France a joué un rôle clef dans l’obtention d’un accord lors du sommet de Copenhague, grâce notamment au Plan Justice Climat : pour la première fois, les chefs d’État et de Gouvernement du monde entier se sont mis d’accord sur un objectif de réduction des émissions de CO2 (- 2 % d’ici 2050).

Bibliographie

(1) CYBERPRESSE.CA. «10/10/10»: journée mondiale citoyenne sur le climat, [Consultation : 29/11/10]. Disponible : http://www.cyberpresse.ca/environnement/201010/10/01-4331322-101010-journee-mondiale-citoyenne-sur-le-climat.php

(2) CDUABLE.INFO. Le 10/10/10, journée d’action mondiale pour le climat : une piqûre de rappel pour les Gouvernements du monde entier, [Consultation : 29/11/10]. Disponible : http://www.cdurable.info/Global-Work-Party-le-10-10-10-mobilisation-planetaire-pour-reduire-nos-emissions-de-carbone-Lutte-changement-climatique,2892.html

(Image) CQVLJM. Journée Internationale d'Actions contre le Changement Climatique, [Consultation : 30/11/10]. Disponible : http://cqvjlm.over-blog.org/article-4391009.html

samedi 27 novembre 2010

Le réchauffement climatique sur la planète


Introduction


De nombreuses observations indiquent que le climat de la planète a changé au cours du 20ème siècle. Le réchauffement de la planète est à l'origine d'une aumentation de la température moyenne à la surface de la planète, une diminution de la couverture neigeuse et des étendues glaciaires, une augmentation du niveau de la mer.

Le réchauffement climatique:

(1) L’effet de serre est souvent hâtivement désigné comme responsable du réchauffement climatique. En réalité, l’effet de serre est un phénomène naturel lié à la présence de gaz atmosphériques, tels que le dioxyde de carbone, le méthane. qui piègent le rayonnement infrarouge émis par la Terre. Cet effet de serre permet à l’atmosphère de se maintenir à une température moyenne de 15°C et sans lui, la température moyenne de la Terre serait de l’ordre de - 18°C! Ce qui inquiète actuellement la communauté scientifique est le constat d’une augmentation continue de la concentration des gaz à effet de serre, et le fait que cet accroissement résulte des activités humaines. En effet, le dioxyde de carbone est produit en très grande quantité lors de la combustion des hydrocarbures qui constituent l’essentiel des carburants utilisés dans les centrales thermiques, pour les transports routiers, aériens et maritimes.

(2) Le réchauffement climatique devrait conduire à une élévation du niveau de la mer, aux conséquences alarmantes sur le climat, l'homme et son écosystème. La responsabilité humaine communément admise doit nous pousser à prendre les mesures nécessaires pour enrayer le réchauffement climatique que certains experts jugent pourtant inévitable.

Conclusion :

Une réorientation forte des modes de consommation et de production énergétique est urgente dans les pays riches, comme dans les pays en développement. La réponse internationale aux changements climatiques commence à prendre forme avec l’adoption par 171 Etats, dont tous les les Etats européens

Bibliographie

(1) SCIENCE.GOUV.FR. Et si nous faisions le point du réchauffement climatique?, [Consultation : 27/11/10]. Disponible : http://www.science.gouv.fr/fr/dossiers/bdd/res/2148/le-rechauffement-climatique/

(2) FUTURA-ENVIRONNEMENT. Climat : risques du réchauffement climatique, [Consultation : 27/11/10]. Disponible : http://www.futura-sciences.com/fr/doc/t/climatologie/d/realites-et-risques-du-rechauffement-climatique_179/c3/221/p1/

(Image) LE WEB PÉDAGOGIQUE. SVT à l'affiche, [Consultation : 27/11/10]. Disponible : http://lewebpedagogique.com/arnaud/face-a-la-realite-du-rechauffement-climatique-et-a-la-responsabilite-humaine-dans-ces-dereglements-une-politique-de-lutte-contre-le-rechauffement-de-la-planete-s%E2%80%99installe-dans-les-annees-1990/

lundi 15 novembre 2010

La Journée Mondiale sans Achats


Introduction


La consommation actuelle des pays dits riches et développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques par exemple).

La Journée sans Achats

(1) La journée sans achat ou Buy Nothing Day (BND) aux États-Unis est une manifestation non-violente de boycott des achats, pour protester contre l’excès de consommation. Reprise internationalement par Adbusters, l’opération fut lancée en 1992 par le canadien Ted Dave avec le slogan enough is enough ! (assez c’est assez). La première fois elle s’appelait No shop day puis cela fut transformé en Buy nothing day. La Journée sans achats a lieu le dernier vendredi (Amérique du nord) ou samedi (Europe) de novembre. C’est la journée où, aux États-Unis, les chiffres de ventes sont les moins élevés de l’année. Les organisateurs de cette manifestation justifient leur action pour protester contre la société de consommation et ce qu’elle entraîne : dégradation de l’environnement, exploitation des populations ou encore perte des valeurs humaines, emprise de la publicité qui pousse à avoir plutôt que d’être. En France, l’organisation Casseurs de pub participe activement à la journée sans achat, des évènements ont été organisés à cette occasion dans de nombreuses villes en France : Amiens, Bordeaux, Chambéry, Grenoble, La Rochelle, Montpellier, Rennes, Saint-Genis-Laval (sud de Lyon), Toulouse.

(2) Cet évènement permet de dénoncer la sur-consommation et les erreurs induites : dégradation de l'environnement, exploitation des populations ou encore perte des valeurs humaines, emprise de la publicité qui pousse à avoir plutôt qu'être. Aujourd'hui la société de consommation, c'est 20 % de la population mondiale (évidemment les pays riches) qui consomment plus de 80 % des ressources de la planète.

Conclusion :

Si la population mondiale consommait comme un français, il nous faudrait 3 planètes, et si la consommation mondiale était calquée sur le modèle américain, 6 planètes seraient nécessaires. Pourtant nous n'en avons qu'une à partager et à transmettre à nos enfants.

Bibliographie

(1) LISLE SUR TARN. Journée internationale sans achats, [Consultation : 14/11/10]. Disponible : http://www.lislesurtarn.info/2009/11/26/journee-internationale-sans-achat/

(2) ABONÉ AU BIO. Journée mondiale sans achat, 29 novembre 2008, [Consultation : 14/11/10]. Disponible : http://www.aboneobio.com/blog/post/2008/11/25/769-journee-mondiale-sans-achat-29-novembre-2008

(Image) DIJON-ÉCOLO. Action du collectif "Dijon non à la pub" pendant la journée sans achats, [Consultation : 14/11/10]. Disponible : http://dijon-ecolo.blogspot.com/2009_11_01_archive.html

La surconsommation dans le monde


Introduction :


(1) La surconsommation est un phénomène social qui prend de plus en plus de place dans les pays industrialisés. La surconsommation désigne un niveau de consommation situé au-dessus de celui des besoins normaux ou d'une consommation moyenne.

La surconsommation :

(2) Nous pourrions maintenant nous demander ce qui nous pousse à consommer autant. Est-ce la publicité qui nous envahit de plus en plus? Les grandes compagnies ont ciblé un public qui rapporte, c'est-à-dire les adolescents qui sont les consommateurs de demain. Les dépenses faites par les grandes entreprises en publicités destinées aux jeunes ont littéralement explosé au cours des dix dernières années, allant de 100 millions de dollars en 1990 à plus de 2 milliards en 2000. Chaque jour, une personne est susceptible de voir 3000 publicités. On dit qu'avant sa majorité, un jeune aura vu plus de 10 millions de publicités. Ces chiffres nous démontrent bien la folie de la consommation qui nous inonde.

Si nous suivons cette chaine de surconsommation, nous arrivons éventuellement aux ressources naturelles que nous sommes en train d'épuiser pour créer tous les objets et produits que nous surconsommons. Le Monde consomme 20 % plus de ressources naturelles que la Terre ne peut en produire. Si nous continuons à ce rythme, il nous faudra 3 ou même 5 planètes pour subvenir à nos besoins. Cette consommation, touchant particulièrement les pays développés, serait porteuse de très nombreux inconvénients au niveau planétaire comme : dérèglements du climat, pollutions de toutes sortes, déboisements abusifs, progression de la pauvreté, des déserts et des épidémies (puisque les antibiotiques sont de moins en moins efficaces).

D'ici une vingtaine d'années, le réchauffement climatique pourrait provoquer l'extinction d'un quart des espèces terrestres. Au milieu du siècle, le changement climatique serait responsable de 150 millions de réfugiés. En 2080, les hivers froids pourraient disparaitre complètement en Europe et la liste est encore longue.

Conclusion :

Pour réagir face à cette augmentation de la consommation qui touche surtout les pays industrialisés qui se trouvent plutôt au Nord, il faudrait que chacun soit volontiers afin de changer nos habitudes. On pourra donc par exemple, réduire les achats de nos vêtements.

Bibliographie

(1) WIKIPÉDIA. Surconsommation, [Consultation : 13/11/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surconsommation

(2) ALPABEM. La surconsommation, [Consultation : 13/11/10]. Disponible :
http://www.alpabem.qc.ca/voir.php?id=176

(Image) WIKIPÉDIA. Fichier:Fredmeyer edit 1.jpg, [Consultation : 14/11/10]. Disponible : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Fredmeyer_edit_1.jpg

vendredi 29 octobre 2010

Journée mondiale sans voitures


Introduction


(1) Nos sociétés modernes sont envahies par les voitures, et cela malgré les nombreuses alertes sur les nuisances que les voitures occasionnent. Conférence après conférence, il est dit combien il est urgent et nécessaire de remédier à ce problème et de privilégier les solutions alternatives, mais le constat est là : la journée mondiale sans voiture s'essouffle et, au fil des éditions, est de moins en moins suivie. En France, 72 villes prenaient part à l'opération en 2008 contre 98 l'année précédente.

La Journée sans voitures

(2) Elle a lieu chaque année le 22 septembre et si elle est en France peu à peu remplacée par la semaine de mobilité durable, elle n'a pas pour autant complètement disparu. Cette journée est une opération avant tout axée sur les villes puisque les urbains sont les premiers à souffrir de l'obsession de la bagnole que beaucoup semblent présenter, encourageant la pollution environnementale, bien sûr, avec les émissions de gaz à effets de serre et de particules fines nocives pour la santé, mais également sonore et visuelle. Ajoutez à cela le danger encouru par les piétons et les cyclistes et vous obtenez la liste des arguments avancés par les tenants de la ville sans voiture. En France, 147 villes participeront demain à cette journée et offriront à leurs habitants une vision de ce que pourrait-être une vie citadine sans pétrole. Centres-villes fermés aux voitures, réductions sur les trajets en transports en commun, découverte du vélo, organisation de randonnées pédestres...

Bibliographie


(1) SOLIDAIRES DU MONDE. 22 Septembre : La journée mondiale sans voitures, [Consultation : 28/10/10]. Disponible : http://blognotes.solidairesdumonde.org/archive/2009/09/14/22-septembre-la-journee-mondiale-sans-voiture.html

(2) CARADISIAC. Le 22 septembre, c'est la journée mondiale sans voiture, [Consultation : 28/10/10]. Disponible : http://www.caradisiac.com/Le-22-septembre-c-est-la-journee-mondiale-sans-voiture-61294.htm

(Image) L'ENRAGÉE NOIRE. Un Mardi sans char !, [Consultation : 28/10/10]. Disponible : http://enrageeverte.bangbangblog.com/2009/09/21/un-mardi-sans-char/

Réchauffement climatique produit par les voitures


Introduction

(1) Déjà, les premières conséquences du réchauffement climatique se font sentir (submersion d’îles dans l’Océan Indien, premiers réfugiés climatiques, multiplication des tempêtes, typhons et autres tornades, inondations à répétition, etc.) avant une accélération prévisible des phénomènes: disparition des calottes glaciaires, montée générale des eaux, submersion d’états entiers, exodes massifs de population, etc.)

En quoi les voitures contribuent-elles aux changements climatiques ?

(2) Les voitures contribuent aux changements climatiques lorsque les carburants fossiles, comme le pétrole ou le diesel, sont brûlés, ils rejettent du dioxyde de carbone (CO2), qui est le principal gaz à effet de serre dont les émissions massives sont à l'origine des changements climatiques. Comme la quantité de CO2 émis est directement liée à la quantité de combustible brûlé, les grosses voitures, qui possèdent un moteur très gourmand en carburant, rejettent plus de CO2 et aggravent ainsi le dérèglement du climat.

Au niveau mondial, les transports sont responsables de 13 % des émissions de gaz à effet de serre, un chiffre qui pourrait atteindre à 30 à 50 % d'ici à 2050. La route représente environ 74 % de ces émissions, dont 40 % proviennent des véhicules utilitaires légers et des voitures, particulières. En Europe, les transports constituent l'unique secteur à voir ses émissions augmenter depuis 1990 (+ 26 %). Et à elles seules, les voitures particulières sont responsables de 12 % des rejets de gaz à effet de serre européens.

Comment régler le problème que posent les voitures au climat ?

Les constructeurs de voitures doivent s'engager rapidement, et dans la durée, à réduire les émissions de CO2 de la totalité du parc automobile. Ils doivent s'engager à ce que les véhicules particuliers qu'ils mettent chaque année sur le marché européen rejettent en moyenne un maximum de 120g de CO2/km d'ici à 2012, et de 80g/km à l'horizon 2020. Ils doivent faire des efforts similaires dans le reste du monde. Les constructeurs peuvent tout à fait atteindre ces objectifs en améliorant l'efficacité des moteurs mais aussi – et cela est tout à fait possible sans attendre l'apparition de nouvelles technologies – en retirant tout simplement du marché les voitures qui polluent le plus et en incitant leurs clients à acheter des modèles plus économiques.

Bibliographie

(1) GREENPEACE. Questions-Réponses, [Consultation : 29/10/10]. Disponible : http://www.greenpeace.org/france/voitures/questions-reponses#1

(2) CARFREE FRANCE. Automobile - CO2 - effet de serre et réchauffement climatique, [Consultation : 29/10/10]. Disponible : http://carfree.free.fr/index.php/2008/05/31/automobile-co2-effet-de-serre-et-rechauffement-climatique/

(Image) COLLÈGE EUGÉNIE COTTON. Le réchauffement climatique, [Consultation : 29/10/10]. Disponible : http://www.clg-cotton-argenteuil.ac-versailles.fr/home/plugins/fckeditor/userfiles/image/voiture_pollution.jpg

Journée mondiale de l'alimentation

Introduction:

(1) Bien que le passage de la chasse et de la cueillette à une production alimentaire fondée sur la culture et l'élevage - autrement dit, la naissance de l'agriculture - se soit produit de façon indépendante dans de nombreuses régions du monde voilà environ 10 000 ans, l'histoire de l'agriculture est riche d'exemples d'échanges interculturels aux conséquences majeures. La première trace archéologique d'activité agricole en Europe atteste d'une technologie avancée, en l'absence d'outils plus élémentaires. Selon une théorie en vigueur, les populations du Moyen-Orient auraient apporté en Europe leurs outils et leurs technologies. Il semblerait que de telles migrations de populations agricoles aient eu lieu en Afrique, en Amérique centrale et du Sud, en Chine, en Inde et en Asie du Sud-Est. Pourquoi ces individus se sont-ils déplacés? L'agriculture, en offrant une source de nourriture plus sûre, entraînait un accroissement de la population, dont une partie finissait par migrer vers de nouvelles terres pour éviter la surpopulation.

Journée mondiale de l'alimentation

Chaque année, le 16 octobre, l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture célèbre la Journée mondiale de l'alimentation, qui commémore la date de sa création, en 1945. Le thème retenu pour la Journée mondiale de l'alimentation et le TeleFood en 2005, " Agriculture et dialogue des cultures ", évoque la contribution des différentes cultures à l'agriculture mondiale et plaide en faveur d'un dialogue sincère entre les cultures, condition préalable de tout progrès dans la lutte contre la faim et contre la dégradation de l'environnement.

Il y a deux objecifs.

(2) Réduire de moitié le nombre de personnes qui souffrent de la faim dans le monde d'ici 2015 est le premier des OMD (Objectifs du Millénaire pour le Développement). D'où la place prise par l'agriculture vis à vis du développement ; d'autant plus qu'elle reste le secteur dominant de l'activité économique de nombreux pays des Sud. Les petits agriculteurs et leurs familles représentent environ 2,5 milliards d'individus, plus du tiers de l'humanité.

Comme l'a montré la Révolution Verte en Inde, la science peut permettre d'augmenter la productivité agricole. Mais, cette même Révolution Verte a aussi montré qu'une utilisation trop systématique d'herbicides, de pesticides et d'engrais est source de pollutions de l'eau et d'appauvrissement des sols, mauvais pour la biodiversité, néfaste pour les paysans les plus modestes. L'agriculture se doit donc d'être aussi durable. Il y a donc un double défi : produire plus et protéger la planète.

Bibliographie

(1) JOURNÉE MONDIALE. 16 octobre : Journée Mondiale de l'alimention, [Consultation : 14/10/10]. Disponible : http://www.journee-mondiale.com/64/16_octobre-alimentation.htm

(2) ÉDUCATION AU DÉVELOPPEMENT DURABLE. Journée mondiale de l'alimention 2010, [Consultation : 14/10/10]. Disponible : http://crdp.ac-amiens.fr/edd2/index.php/zoom-sur/453-journee-mondiale-de-lalimentation-2010

(Image) CNCD. Journée Mondiale de l'alimentation, [Consultation : 14/10/10]. Disponible : http://www.cncd.be/IMG/arton835.jpg

La faim dans le monde


(1) En conclusion, la faim dans le monde est un crime à l’humanité, un attentat contre l’être humain, qui se détruit et souffre par lui-même ! Ce problème majeur, ravageur et destructeur ne devrait plus subsister de nos jours, ni dans les pays développés ou les droits de l’homme sont pourtant si bien défendues (ce qu’on est parfois tenté de se demander), ni dans les pays sous-développés ou en voie de développement ou ces droits sont malheureusement trop souvent erronés.

Les causes cette injustice mondiale, qui représente le principal défi pour l’humanité, sont soient naturelles (conjoncturelles), soit issues de l’homme lui-même (structurelles). Dans ce cas le problème est très complexe et il semble presque impossible de le résoudre complètement (ce à quoi aucun pays n’est encore parvenu). Mais il ne faut pas pour autant baisser les bras, car la passivité est vraiment la dernière chose qui permettrait de le résoudre. Au contraire : il est donc important de lutter contre les inégalités qui existent de nos jours et qui risquent, malgré la mobilisation de nombreuses personnes qui ont pris conscience du problème, de continuer à hanter la planète pendant encore longtemps. C’est pourquoi il faut tous se mobiliser et rester solidaire envers les personnes en difficulté : si chacun fait un peu, le résultat n’en sera pas moins important et on devrait rapidement arriver à de nettes amélioration.

(2) Pour mettre un terme à la faim, il faut nécessairement commencer par assurer une production et une distribution de nourriture suffisantes pour tous. Cependant, le seul fait de produire suffisamment ne garantit pas l'éradication de la faim. Il faut garantir à tous et à tout moment l'accès alimentaire, c'est à dire l'accès à une nourriture suffisante, saine et adéquate sur le plan nutritionnel, pour une vie saine et active. Pour éliminer la faim et la malnutrition ainsi que leurs conséquences dévastatrices pour les générations actuelles et à venir, des efforts accrus sont nécessaires dans le monde entier pour assurer la sécurité alimentaire. Il est impératif, pour garantir le droit fondamental de tous les êtres humains à être libéré de la faim, que chacun d'entre nous apporte sa contribution, se mobilise, partage les informations dont il dispose et participe à des activités.


Bibliographie

(1) RVWEB. Dossier Faim dans le Monde, [Consultation : 14/10/10].
Disponible : http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/11-la-faim-dans-le-monde-7

(2) NOURRIR L'ESPRIT.COMBATTRE LA FAIM. La Faim et la Malnutrition dans le Monde, [Consultation : 14/10/10]. Disponible : http://www.feedingminds.org/info/info_level_fr.htm

(Image)
USHÜAIA. La journée mondiale de l'alimentation 2010, [Consultation : 14/10/10].
Disponible : http://s.tf1.fr/mmdia/i/60/0/3978600juwog.jpg?v=1

Le Développement Durable, pourquoi?


Consommer toujours plus, c’est piller toujours plus les ressources naturelles que la planète a mis des millions d’années à créer (air, eau, océans, forêts, terres cultivables, biodiversité, pétrole), et qui ne se renouvellent pas assez vite pour satisfaire la demande croissante… Et rejeter toujours plus de pollutions et de déchets dans l’environnement, qui commence à être saturé…

Cette situation ne peut pas durer : les catastrophes écologiques et sanitaires montrent déjà les limites du système. Et cela ne va faire que s’aggraver : la Terre compte 6 milliards d’habitants ; en 2050, nous serons 3 milliards de plus.

Aujourd’hui, la grande majorité de l’humanité vit toujours dans la pauvreté. Des millions de femmes, d’hommes et d’enfants n’ont ni eau potable, ni électricité, ni éducation, ni assez à manger… Mais si tous les habitants de la terre vivaient comme nous, il faudrait deux planètes supplémentaires pour satisfaire leurs besoins !

Or, nous n’avons pas de planète de rechange. Alors, comment améliorer les conditions de vie de tous les citoyens du monde sans épuiser définitivement la Terre ? Comment satisfaire les besoins des hommes d’aujourd’hui tout en léguant la Terre en bon état aux générations qui l’habiteront après nous ?

En apprenant à économiser et à partager de manière équitable les ressources, en utilisant les technologies qui polluent moins, qui gaspillent moins d’eau et moins d’énergie, et surtout en changeant nos habitudes de consommation et nos comportements. C’est cela, le développement durable. Ce n’est pas un retour en arrière, mais un progrès pour l’humanité : celui de consommer non pas moins, mais mieux. Il est devenu urgent d’agir. Nous en avons tous les moyens. Et surtout, le devoir.

Bibliographie

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE. Le développement durable, Pourquoi? [Consultation : 13/10/10]. Disponible : http://www.ledeveloppementdurable.fr/developpementdurable/page/pourquoi.html

(Image) PILIERS DE L'ENVIRONNEMENT. Le développement durable, [Consultation : 13/10/10]. Disponible : http://telecompagnons.files.wordpress.com/2008/01/cercles-dd.jpg

samedi 25 septembre 2010

Qu'est-ce que le développement durable ?


Le développement durable est un développement plus efficace, plus solidaire, moins gaspilleur qui pourrait être étendu aux 6,5 milliards d'habitants de la planète sans la détruire.

Le développement durable se veut un processus de développement qui concilie l'écologique, l'économique et le social et établit un cercle vertueux entre ces trois pôles : c'est un développement, économiquement efficace, socialement équitable et écologiquement soutenable. Il est respectueux des ressources naturelles et des écosystèmes, support de vie sur Terre, qui garantit l'efficacité économique, sans perdre de vue les finalités sociales du développement que sont la lutte contre la pauvreté, contre les inégalités, contre l'exclusion et la recherche de l'équité.

Une stratégie de développement durable doit être gagnante de ce triple point de vue, économique, social et écologique. Le développement durable suppose que les décisions et comportements humains parviennent à concilier ce qui semble pour beaucoup inconciliable, parviennent à élargir leur vision : il impose d’ouvrir notre horizon temporel sur le long terme, celui des générations futures, et notre horizon spatial, en prenant en compte le bien-être de chacun, qu'il soit habitant d'un pays du Sud ou du Nord, d'une région proche, de la ville ou du quartier voisins. Le développement durable se fonde sur la recherche d’intégration et de mise en cohérence des politiques sectorielles et impose un traitement conjoint des effets économiques, sociaux et environnementaux de toute politique ou action humaine.

CONSEQUENCES SI NOUS NE CHANGEONS PAS NOTRE MODE DE VIE

Si l’on en croit les données démographiques, il y a de fortes chances pour que la Terre soit peuplée de 10 milliards d’êtres humains avant le milieu du siècle. Quatre milliards de bouches supplémentaires à nourrir, dont la plupart se trouveront sans doute dans les mégalopoles du tiers-monde. Quatre milliards d’hommes qu’il faudra loger, chauffer, éclairer alors que 800 millions de personnes souffrent toujours de faim à l’heure actuelle, qu’un milliard et demi n’ont pas accès à l’eau potable et deux milliards ne sont pas raccordés aux réseaux d’électricité !
Or, en 2050, si chaque habitant des pays en développement consomment autant d’énergie qu’un Japonais en 1973, la consommation mondiale d’énergie sera multipliée par quatre !

Bibliographie

ACTU-ENVIRONNEMENT. Définition du développement durable, [Consultation : 19/09/10]. Disponible : http://www.actu-environnement.com/ae/dossiers/dd/dd_definitions_1.php4

REGION RHONE-ALPES. Développement durable, [Consultation : 19/09/10]. Disponible : http://www.rhonealpes.fr/51-developpement-durable.htm

(Image) KINOX. Blog Action Day : le changement climatique, [Consultation : 20/09/10]. Disponible : http://www.kinox-fr.com/post/2009/10/Blog-Action-Day-le-changement-climatique